Un ouvrier du cimetière français nous montre les tombes éventrée
Au cimetière français d'Oran, où nous arrivons comme en pèlerinage, nous apprenons que le Consulat Français, sans prévenir les familles des morts enterrés-là, a décidé de céder une partie du cimetière à la ville d'Oran, pour faire... Une autoroute. Les corps de nos morts ont donc été mis dans des fosses communes, et toute une partie du cimetière était en cours de destruction lors de notre visite. Nous avons pu, ultime souvenir, récupérer la plaque de pierre qui portait le nom de mes arrières-grands-parents.
Date de cette photo: 28 avril 2010